La cigarette électronique est le remplaçant de la cigarette traditionnelle et elle sert à baisser les risques pathologiques liés à sa consommation. Elle est constituée d’une batterie et d’un clearomiseur. Il contient la résistance qui va bruler et transformer en vapeurs le e-liquide présent dans la réserve.
Selon l’OMS il sied d’analyser le rapport bénéfice/risque entre l’e-cigarette ou nicotine et le tabac qui fait près de 75.000 victimes tous les ans dans l’Hexagone. Des test d’évaluations sont mené par l’ANSES pour évaluer le degré de nuisance des produits de vapotage.
L’e-cigarette et le tabagisme
Il est clair qu’on en apprend plus chaque jour sur l’e-cigarette, car des doutes subsistent toujours sur son impact sur la santé. Même si la toxicité et l’inflammation en rapport avec ses constituants sont peu nombreux inversement au tabac, le corps sanitaire la recommande quasiment pas aux non-fumeurs.
Les Français découvrent la cigarette électronique dans les années 2010 sous la nomination de vapoteur. Dès 2020, 34,7% des consommateurs sont en métropole, 5,4% vapotent occasionnellement pour 3,8% en 2017 et 4,3% tous les jours. Et, en 2018, juste 1% des amateurs permanents de nicotine n’ont jamais consommés de tabac, soit moins de 0,01% des adultes. Selon les 6/10 des amateurs d’e-cigarette, son utilisation a pour but premier l’arrêt de fumer et les 4/10 autres pour le sevrage tabagique.
Prévention et arrêt
A ce jour les études sur l’e-cigarette sont peu concluantes et inabouties. Il est difficile de certifier leur intérêt dans la lutte contre le tabac. Elles sont considérées comme des produits de consommation, leur usage n’est pas toujours encadré médicalement.